Edonys, la nouvelle marque de VIREO, propose des solutions personnalisées pour contribuer à une société plus équitable. Deux de ses solutions, TaxWorld et Payworld, permettent respectivement de simplifier la fiscalité et d’optimiser les packages de rémunération. Une autre solution, TechWorld, optimise le développement de produits digitaux.
Elle vient de lancer un nouveau produit, Joybiiz, dans le cadre de son offre JoyWorld, avec un cofinancement du ministère de l’économie et le soutien de Luxinnovation.
Il s’agit essentiellement d’augmenter le pouvoir d’achat des employés, de réduire les coûts salariaux des entreprises et d’accroître les bénéfices des commerçants.
«Notre nom est dérivé du mot hédonisme, qui signifie profiter des moments et de tous les avantages quotidiens que la vie offre pour être plus efficace», explique Olivier Rozet, Partner & Chief Experience Officer d’Edonys.
Le dernier produit lancé par le groupe consolide et automatise différents types d’avantages pour les employés et les clients, y compris les chèques-repas, les chèques-cadeaux, les réductions en magasin et en ligne, et les récompenses de fidélité, afin de s’assurer que les commerçants, les employés et les employeurs maximisent le potentiel de ces avantages à des fins diverses. «Il s’agit essentiellement d’augmenter le pouvoir d’achat des employés, de réduire les coûts salariaux des entreprises et d’accroître les bénéfices des commerçants», explique-t-il.
Jusqu’à 3.000 EUR de remises
Réductions, récompenses de fidélité et automatisation des bons d’achat – comment cela fonctionne-t-il ?Les utilisateurs créent un compte et connectent leurs moyens de paiement (comme une carte bancaire, Apple Pay ou un compte Paypal) à l’application. Chaque fois qu’une prime de fidélité est activée ou qu’un achat éligible est effectué, l’application détecte le paiement et la réduction correspondante est remboursée. Pour faciliter l’accès aux informations d’achat de manière sécurisée, Edonys a conclu un partenariat avec la plateforme d’API bancaire ouverte LUXHUB.
Nous voulons être en mesure de promouvoir l’ensemble de l’économie luxembourgeoise.
«Imaginez que vous vous rendiez quelque part pour acheter un article sur lequel vous pouvez bénéficier d’une réduction. Vous n’avez pas besoin de le savoir, mais si vous êtes éligible à une réduction de 10%, nous vous remboursons 10% instantanément», souligne-t-il. «La plupart des employés qui bénéficient de ces possibilités ne les exploitent pas. Nous avons calculé que chaque année, nous pourrions offrir environ 3.000 euros de remboursement par personne si elle bénéficiait de toutes les réductions auxquelles elle a droit», ajoute-t-il.
Il souligne également les avantages des remises pour accroître la visibilité et l’attractivité des commerçants. L’entreprise envisage de commencer à offrir des remises aux utilisateurs d’ici à la fin de 2024.
Une portée élargie
Le principe est le même pour les chèques-repas et les chèques-cadeaux. L’application permet aux utilisateurs de payer avec des chèques «joy meal» et «joy gift». Selon le CEO (Chief Experience Officer), la valeur ajoutée de ces titres réside dans l’extension de leur portée (tous les restaurants et commerçants éligibles du marché) pour les utilisateurs et dans la possibilité pour les commerçants de les recevoir sans frais. «Les commerçants ne paient pas de frais lorsqu’ils reçoivent nos chèques-repas, et davantage d’employés peuvent dépenser leurs chèques auprès de nouveaux vendeurs, comme des agriculteurs locaux. Nous voulons être en mesure de promouvoir l’ensemble de l’économie luxembourgeoise», explique-t-il.
Nous avons calculé que chaque année, nous pourrions offrir environ 3.000 euros de remboursement par personne si elle bénéficiait de toutes les réductions auxquelles elle a droit.
L’entreprise est en pourparlers avec plusieurs entités pour atteindre cet objectif. «Nous signons déjà des contrats avec des employeurs et d’autres partenaires. Nous discutons également avec des associations et des fédérations qui regroupent de nombreux commerçants», précise-t-il.
Cofinancement du ministère de l’Économie
Pour construire son nouveau produit, Edonys a bénéficié d’un cofinancement du ministère de l’Économie. Luxinnovation a fourni des conseils et un soutien précieux tout au long du processus, depuis l’évaluation de la proposition jusqu’à la préparation des documents pour la demande de financement national.
«Il a fallu plusieurs mois pour construire le projet. Vous ne pouvez pas simplement aller sur le marché en pensant que vous savez tout, parce que ce que vous avez créé ne répondra peut-être même pas aux besoins de vos clients potentiels. Luxinnovation, dans son rôle, n’a pas seulement fourni un soutien administratif, mais a aussi donné des conseils sur ce qui devait être fait ou aurait dû être fait», dit-il. «Nous avons également discuté avec Luxinnovation pour estimer s’il s’agissait de quelque chose de vraiment innovant pour le Luxembourg », poursuit-il.
Luxinnovation, dans son rôle, n’a pas seulement fourni un soutien administratif, mais a aussi donné des conseils.
La société a l’intention d’utiliser sa plateforme pour créer de nouvelles opportunités pour les commerçants. «Nous envisageons également d’obtenir le soutien de Luxinnovation pour que nos clients puissent bénéficier de petites subventions, afin qu’ils puissent eux aussi explorer des projets de numérisation», souligne-t-il.
« Toutes les entreprises peuvent compter sur notre soutien indéfectible pour propulser leurs projets d’innovation vers de nouveaux sommets », déclare Elisabeth Frisch, Advisor – National Funding à Luxinnovation.
Perspectives d’avenir
Alors que le projet prend de l’ampleur, Edonys se concentre sur l’élargissement de son marché et de ses offres. Elle a également l’ambition de s’étendre aux marchés internationaux à l’avenir.
Toutes les entreprises peuvent compter sur notre soutien indéfectible pour propulser leurs projets d’innovation vers de nouveaux sommets.
«L’une de nos ambitions est d’aller à l’étranger, ce qui sera une opportunité pour les commerçants luxembourgeois. Ce que nous faisons est unique en Europe ; souvent les start-up disent que nous sommes les seuls, mais cette fois-ci, de la manière dont nous le faisons, nous le sommes vraiment», conclut-il.